Kit - La table palestinienne
Nous vous proposons un kit d’épices très utilisées dans cet ouvrage, accompagné ou non du livre.
Parler de cuisine familiale palestinienne est, pourrait-on dire, un pléonasme. La cuisine palestinienne est par essence une cuisine familiale ! Dans ce livre les produits de Palestine et du croissant fertile sont à l’honneur : huile d’olive, céréales et légumes du potager. Même si ce livre n’est pas 100% végétarien, il contient une grande majorité de recette sans viande.
Aujourd’hui, en France ou ailleurs, la cuisine dite israélienne est à la mode. Néanmoins, gardons en tête qu’une grande majorité des recettes et techniques culinaires utilisées dans cette cuisine sont en fait d’origine palestinienne.
13 chapitres, et à titre d'exemple...
Pains plats farcis au za’atar
Omelette palestinienne
Pois chiches en sauce au tahini
Salade de tomates à l'ail et au sumac
Salade d’aubergines, yaourt et fruits secs
Soupe au freekeh Riz pilaf aux lentilles Poisson et riz au cumin
Maftool au poulet, à la courge butternut et aux pois chiches
Gâteau de semoule au fenugrec
Café à la cardamome
Reem Kassis, La table palestinienne, Phaidon, 2017, 256 pages – 200 illustrations. 150 recettes.
Les épices et condiments dans ce kit
Tahini (150g)
Mélange za’atar (100g)
Sumac (30g)
Sept-épices (40g)
Cumin entier (40g)
Coriandre entière (30g)
Cardamome verte (30g)
Piment de Cayenne (20g)
Cannelle vraie moulue (35g)
Mélasse de grenade (160g)
Dans son livre, Reem Kassis donne sa recette du 9 épices, dont voici les ingrédients : baie de la Jamaïque, cannelle, coriandre, poivre noir, cardamome, cumin, girofle, macis et muscade.
L'auteure
Palestinienne ayant grandi à Jérusalem, Reem Kassis a passé son enfance entourée des saveurs et des parfums de la cuisine familiale. Ses parents ne souhaitant la voir mariée jeune, l’encouragent à poursuivre ses études.Elle s’envole pour les États-Unis.
Ses études et un métier en poche, ce n'est que des années plus tard qu'elle change de cap. Les plats dits de cuisine traditionnelle palestinienne qu’elle déguste dans des restaurants la déçoivent. Les vraies saveurs de son enfance lui manquent et une puissante envie de transmission émerge.
« Pendant des dizaines d’années, en Israël, la cuisine palestinienne a été reléguée au statut d’attrape-touristes ou cantonnée à la restauration familiale rapide ; elle connaît aujourd’hui son heure de gloire. » – The New York Times