Notre eau de fleur d’oranger est produite dans le nord de l’Italie par un jeune artisan qui a décidé de poursuivre le travail de ses aïeux. Il émane de cette eau un parfum capiteux, solaire et d’une immense douceur. C’est un ravissement des sens, une plongée dans une journée radieuse de printemps, un voyage au cœur de la méditerranée.
Notre eau de fleur d’oranger est produite dans le nord de l’Italie par un jeune artisan qui a décidé de poursuivre le travail de ses aïeux. Il émane de cette eau un parfum capiteux, solaire et d’une immense douceur. C’est un ravissement des sens, une plongée dans une journée radieuse de printemps, un voyage au cœur de la méditerranée.
Pietro est un jeune producteur d’eau de rose et de fleur d’oranger. Jeune en âge, certes, mais riche du savoir-faire traditionnel transmis dans sa famille depuis sept générations.
À quelques kilomètres du village médiéval de Vallebona, se trouve la maison familiale, avec ses bigaradiers en contrebas.
Ici, tout se fait de manière artisanale et familiale : cueillette, tri, distillation, taille des arbres… dans un paysage de rêve, entre mer et montagne.
Nous avons partagé de merveilleux moments de cueillette avec Pietro !
Si l’on parle communément de fleur d’oranger, il serait juste de rappeler qu’il s’agit de fleur de bigaradier (citrus aurantium), autrement dit de l’orange amère.
Au mois de mai, les arbres commencent à se couvrir de petites fleurs blanches dont le parfum embaume délicieusement les alentours. La cueillette prend trois semaines car à chaque passage dans le verger, seules les fleurs ouvertes sont choisies, tandis que les boutons sont préservés. En fin de journée, feuilles et branchages sont retirés. Après un temps de repos, les fleurs sont versées dans l’alambic.
La distillation se fait exclusivement à la vapeur d’eau (à 100°C). Elle passe à travers les pétales, transportant avec elle tous les composants aromatiques et les huiles essentielles.
Un circuit de refroidissement permet à la vapeur de repasser au stade liquide et ainsi de récupérer l’eau de fleur d’oranger et le néroli (l’huile essentielle d’orange amère). Il faut un kilo de fleurs pour produire un litre d’eau de fleur d’oranger, et une tonne de fleurs pour faire un litre de néroli.
Le parfum de l’eau de fleur d’oranger évolue avec le temps. Durant les semaines qui suivent la production, il est très vert, herbacé, avec une acidité assez prononcée. Avec le temps, il s’adoucit, s’arrondit et gagne en profondeur. Nous achetons l’eau florale au moment de la récolte et nous l’affinons plusieurs mois avant de la proposer à la vente.
Nombreux sont les magasins qui proposent de l’extrait, des arômes ou encore de l’eau aromatisée. L’eau que nous proposons est bien de l’hydrolat, autrement dit uniquement de l’eau florale.
Elle sert évidemment à confectionner de délicieuses pâtisseries orientales mais son potentiel est infini.
Pensez-y pour vos yaourts, quatre-quarts, meringues, crêpes... et les navettes de Marseille. En Italie, elle sert à parfumer la ricotta dans un gâteau nommé pastiera.
En dehors des usages classiques dans les recettes sucrées, l’eau de fleur d’oranger peut aussi vous servir dans la cuisine salée, par exemple dans une vinaigrette ou encore dans une marinade, accompagnée de mélasse de grenade et de miel.
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Nos recettes salade de fenouil au safran et fleur d'oranger |
